titre original | "The Ten Commandments" |
année de production | 1956 |
réalisation | Cecil B. DeMille |
scénario | Æneas MacKenzie, Jesse Lasky Jr., Jack Gariss et Fredric M. Frank |
photographie | Loyal Griggs |
musique | Elmer Bernstein |
production | Cecil B. DeMille |
interprétation | Charlton Heston, Yul Brynner, Anne Baxter, Edward G. Robinson, Yvonne De Carlo, Debra Paget, Judith Anderson, Vincent Price, John Carradine |
récompense | Oscar des meilleurs effets visuels |
version précédente | "Les Dix Commandements" de Cecil B. DeMille, 1923, États-Unis |
Critique extraite du Guide des films de Jean Tulard
Grandiose : décors gigantesques, milliers de figurants, interprétation prestigieuse. Toutefois cette version, pour spectaculaire qu'elle soit, n'a peut-être pas le charme de la version de 1923, qui mêlait deux histoires. Ici, c'est l'imagerie saint-sulpicienne, sans la petite pointe de sadisme habituelle chez DeMille, qui triomphe.
Critique extraite de 50 ans de cinéma américain de Bertrand Tavernier et Jean-Pierre Coursodon
Cecil B. DeMille revient à l'histoire de Moïse. Un film monumental, un des plus longs (3h40) et des plus coûteux (13 millions de 1955) jamais réalisés à Hollywood. Il battra tous les records de recettes.
Un film entièrement filmé en VistaVision
"Les Dix Commandements" fait partie de ces films américains utilisant le VistaVision comme procédé principal de prise de vues, comme également "Noël blanc" (1954), "Artistes et Modèles" (1955), "La Main au collet" (1955), "Mais qui a tué Harry ?" (1955), "La Maison des otages" (1955), "La Rose tatouée" (1955), "L'Homme qui en savait trop" (1956), "La Prisonnière du désert" (1956), "Drôle de frimousse" (1957), "Règlements de comptes à OK Corral" (1957), "Sueurs froides" (1958), "Le Dernier Train de Gun Hill" (1959), "La Mort aux trousses" (1959) et "Vengeance aux deux visages" (1961).
La chronique de Jérôme Muslewski