titre original | "The Lady Eve" |
année de production | 1941 |
réalisation | Preston Sturges |
scénario | Preston Sturges, d'après "Two Bad Hats" de Monckton Hoffe |
photographie | Victor Milner |
production | Paul Jones (et Buddy G. DeSylva, non crédité) |
interprétation | Barbara Stanwyck, Henry Fonda, Charles Coburn, Eugene Pallette, William Demarest, Eric Blore, Melville Cooper, Martha O'Driscoll, Janet Beecher, Robert Greig, Dora Clement, Luis Alberni |
remake | "Millionnaire de mon cœur" ("The Birds and the Bees") de Norman Taurog, 1956, États-Unis |
Critique extraite du Guide des films de Jean Tulard
Dialogues pertinents, plus comique de situation, plus acteurs brillants, donnent excellente comédie dite "à l'américaine".
Comédie de remariage
"Un cœur pris au piège" fait partie, avec "New York-Miami" (1934), "Cette sacrée vérité" (1937), "L'Impossible Monsieur Bébé" (1938), "Indiscrétions" (1940), "La Dame du vendredi" (1940) et "Madame porte la culotte" (1949), des sept films américains choisis par le philosophe américain Stanley Cavell (1926-2018) pour établir le genre de la comédie de remariage dans son ouvrage "Pursuits of Happiness: The Hollywood Comedy of Remarriage" (1981).

Stanley Cavell, éditions Vrin - Philosophie du présent, 2017

