« My name is Robert Neville. I am a survivor living in New York City. »
| titre original | "I Am Legend" |
| année de production | 2007 |
| réalisation | Francis Lawrence |
| scénario | Mark Protosevich et Akiva Goldsman, d'après le roman éponyme de Richard Matheson |
| montage | Wayne Wahrman |
| photographie | Andrew Lesnie |
| musique | James Newton Howard |
| interprétation | Will Smith, Emma Thompson (non créditée) |
| versions précédentes | • "Je suis une légende", 1964 |
| • "Le Survivant" de Boris Sagal, 1971 |
Du roman à l'écran
"Je suis une légende" est la onzième adaptation cinématographique d'une œuvre de l'écrivain américain Richard Matheson (1926-2013), après notamment "L'Homme qui rétrécit" (d'après le roman éponyme), "Le Survivant" (d'après le roman "Je suis une légende"), "Quelque part dans le temps" (d'après le roman "Le Jeune Homme, la Mort et le Temps"), "La Femme qui rétrécit" (d'après le roman "L'Homme qui rétrécit"), "Au-delà de nos rêves" (d'après le roman éponyme) et "Hypnose" (d'après le roman "Échos"). Suivront les films américains suivants : "The Box" (d'après la nouvelle "Button, Button") et "Real Steel" (d'après la nouvelle "L'Indéracinable").
Hommages à Bob Marley
De nombreux hommages sont rendus au chanteur jamaïcain dans le film :
- la fille du personnage interprété par Will Smith (jouée par la propre fille de l'acteur, Willow Smith) est prénommée Marley ;
- l'album Legend écouté plusieurs fois par Neville est une compilation de Bob Marley & the Wailers sortie en 1984 (et dont les titres "I Shot the Sheriff", "Three Little Birds" et "Redemption Song" sont intégrés à la bande-son du film) ;
- He had this idea. It was kind of a virologist idea. He believed that you could cure racism and hate... literally cure it, by injecting music and love into people's lives. When he was scheduled to perform at a peace rally, a gunman came to his house and shot him down. Two days later he walked out on that stage and sang. When they asked him why - He said, "The people, who were trying to make this world worse... are not taking a day off. How can I? Light up the darkness."
La chronique de Gilles Penso
