« And it feels good to be a wolf, doesn't it? Power without guilt. Love without doubt. »
titre original | "Wolf" |
année de production | 1994 |
réalisation | Mike Nichols |
scénario | Jim Harrison et Wesley Strick |
photographie | Giuseppe Rotunno |
musique | Ennio Morricone |
interprétation | Jack Nicholson, Michelle Pfeiffer, James Spader, Richard Jenkins, Christopher Plummer, David Schwimmer |
Critique extraite du Guide des films de Jean Tulard
Nouvelle version du "loup-garou", mais bien faible par rapport aux versions de l'Universal des années 1930-1940 (notamment "Le Monstre de Londres"). Des images trop soignées et une interprétation de stars nuisent à la crédibilité du film et lui enlèvent son pouvoir poétique.
Gare au loup
S'il est bien question, dans "Wolf", de loup-garou, ce terme n'est pas plus mentionné dans le film lui-même que dans son titre. Au lieu de cela, c'est l'expression demon wolf qui est utilisée à plusieurs reprises (plutôt que werewolf, donc).
Mike Nichols et Giuseppe Rotunno
"Wolf" constitue la troisième et dernière collaboration du réalisateur américain avec le directeur de la photographie italien, après "Ce plaisir qu'on dit charnel" (1971) et "À propos d'Henry" (1991). Rotunno ne travaillera plus ensuite que sur deux films, "Sabrina" de Sydney Pollack (1995) et "Le Syndrome de Stendhal" de Dario Argento (1996).
Mike Nichols et Jack Nicholson
"Wolf" constitue la quatrième et dernière collaboration du réalisateur avec l'acteur, après "Ce plaisir qu'on dit charnel", "La Bonne Fortune" (1975) et "La Brûlure" (1986).
Les œuvres de Mike Nichols © Faboolis
La chronique de Jérôme Muslewski