« From hell's heart I stab at thee; for hate's sake I spit my last breath at thee. »
titre original | "Moby Dick" |
année de production | 1956 |
réalisation | John Huston |
scénario | Ray Bradbury et John Huston, d'après le roman éponyme de Herman Melville |
photographie | Oswald Morris |
musique | Philip Sainton |
production | John Huston |
interprétation | Gregory Peck, Richard Basehart, Leo Genn, Orson Welles |
Critique extraite du Guide des films de Jean Tulard
Brillante adaptation du roman de Melville, supérieure à celles de Millard Webb ("The Sea Beast", 1926) et Lloyd Bacon ("Moby Dick", 1930), avec toutefois une erreur de distribution : c'est John Huston lui-même qui voulait être l'interprète d'Achab après avoir songé à son père, Walter Huston, pour le rôle. L'un et l'autre auraient été plus proches du héros de Melville que Gregory Peck.
Critique extraite de 50 ans de cinéma américain de Bertrand Tavernier et Jean-Pierre Coursodon
Entre le faucon et les éléphants, une pièce de taille à ajouter au bestiaire mythique de John Huston. Une technique de couleurs originale.
John Huston et Oswald Morris
"Moby Dick" est la troisième collaboration du réalisateur américain avec le directeur de la photographie britannique, après "Moulin Rouge" (1952) et "Plus fort que le diable" (1953). Suivront "Dieu seul le sait" (1957), "Les Racines du ciel" (1958), "Reflets dans un œil d'or" (1967), "Le Piège" (1973) et "L'Homme qui voulut être roi" (1975).
Référence dans le cinéma américain
La chronique de Gilles Penso