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"La Maison de la 92e Rue"

« The Germans felt that Dietrich was an extremely valuable man... so did the FBI. »

La maison de la 92e Rue - affiche

titre original "The House on 92nd Street" aka "Now It Can Be Told"
année de production 1945
réalisation Henry Hathaway
scénario Barré Lyndon, John Monks Jr. et Charles G. Booth, d'après une histoire originale de ce dernier
photographie Norbert Brodine
musique David Buttolph
production Louis De Rochemont
interprétation William Eythe, Lloyd Nolan, Signe Hasso, Gene Lockhart, Leo G. Carroll, Lydia St. Clair, William Post Jr.
 
récompenses • Oscar de la meilleure histoire originale pour Charles Booth
Prix Edgar Allan Poe 1946 pour Charles G. Booth, Barré Lyndon et John Monks Jr. (ex æquo avec John Paxton pour "Adieu, ma belle")
 
suite "La Dernière Rafale" ("The Street with No Name") de William Keighley, 1948

Critique extraite du Guide des films de Jean Tulard

Un film d'espionnage qui se veut réaliste, dans la ligne des films produits par Louis De Rochemont comme "13 rue de la Madeleine".

Critique extraite de 50 ans de cinéma américain de Bertrand Tavernier et Jean-Pierre Coursodon

Le premier des policiers semi-documentaires dirigés par Henry Hathaway pour la Fox. Extérieurs tournés à New York.

Le titre du film

La maison dans laquelle se rencontrent régulièrement des espions allemands postés à New York est censée se situer dans la 92e Rue de la ville, qui traverse Manhattan d'est en ouest. La maison utilisée pour le tournage du film se situait dans la 93e Rue et a été rasée depuis.

Inspirations

L'auteur de l'histoire à l'origine du scénario de "La Maison de la 92e Rue" s'est largement inspiré de l'affaire Fritz Joubert Duquesne. Outre Duquesne, d'autres membres du même réseau allemand d'espionnage surnommé le Duquesne Spy Ring ont servi d'inspiration pour les personnages principaux du film : l'agent double William G. Sebold, Lilly Stein et Herman Lang.

La maison de la 92e Rue - générique