« You can't kill me, I'm Legs Diamond. »
| titre original | "The Rise and Fall of Legs Diamond" |
| année de production | 1960 |
| réalisation | Budd Boetticher |
| scénario | Joseph Landon |
| photographie | Lucien Ballard |
| musique | Leonard Rosenman |
| production | Milton Sperling |
| interprétation | Ray Danton, Karen Steele, Warren Oates, Dyan Cannon |
Critique extraite du Guide des films de Jean Tulard
Il s'agit d'une étude presque clinique sur le désir de puissance, traitée de manière forte, rapide et volontiers elliptique. Le drame submerge inéluctablement l'aspect de comédie grinçante qui donne les premières touches du film. De plus, l'évocation des années trente est formellement réussie grâce à la photographie de Lucien Ballard. En définitive, "La Chute d'un caïd" représente ce que Boetticher pouvait faire de mieux.
Critique extraite de 50 ans de cinéma américain de Bertrand Tavernier et Jean-Pierre Coursodon
Humour et violence dans une reconstitution des grandes années du gangstérisme américain. Remarquable.
Budd Boetticher et Karen Steele
"La Chute du caïd" est la quatrième et dernière collaboration du réalisateur avec l'actrice, après trois films du cycle Ranown ("Décision à Sundown" en 1957, "Le Courrier de l'or" en 1958 et "La Chevauchée de la vengeance" en 1959). De leur premier à leur dernier film ensemble, Boetticher et Steele entretinrent une relation amoureuse.
