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"Docteur Folamour ou : Comment j'ai appris à ne plus m'en faire et à aimer la bombe"

Docteur Folamour - affiche

titre original "Dr. Strangelove or: How I Learned to Stop Worrying and Love the Bomb"
année de production 1964
réalisation Stanley Kubrick
scénario Stanley Kubrick, Terry Southern et Peter George, d'après le livre "Red Alert" de ce dernier
photographie Gilbert Taylor
musique Laurie Johnson
production Stanley Kubrick
interprétation Peter Sellers, George C. Scott, Sterling Hayden, James Earl Jones

Critique extraite du Guide des films de Jean Tulard

Un film délirant, chef-d'œuvre d'humour noir sur le péril atomique et qui fit sensation à l'époque. La composition de Peter Sellers qui tient trois rôles, dont celui hallucinant du Dr Folamour, un ancien nazi qui ne peut s'empêcher de faire le salut hitlérien, est extraordinaire.

Critique extraite de 50 ans de cinéma américain de Bertrand Tavernier et Jean-Pierre Coursodon

Stanley Kubrick nous apprend à aimer la bombe. Délirante et effrayante satire d'un monde trop possible.

Une sortie en salle semée d'embuches

La sortie du film était prévue le 22 novembre 1963, mais ce jour-là est assassiné le président Kennedy. La production dut repousser la date de sortie au début de l'année suivante, en janvier 1964. Pour que la sortie ne soit pas alors compromise par celle du film "Point limite" qui brode autour du même thème, Kubrick, accusant Lumet de plagiat, fait racheter, à la suite d'un accord amiable, le film par Columbia Pictures, dont l'exploitation en salle sera reportée au 7 octobre 1964.

Multiplicity

Pour la troisième fois de sa carrière, après "La Souris qui rugissait" et "Lolita", Peter Sellers incarne plusieurs personnages différents : le docteur Folamour, le président Merkin Muffley et le capitaine Lionel Mandrake.

Blu-ray et DVD The Criterion Collection de "Docteur Folamour"

Le générique de "Docteur Folamour" conçu par Pablo Ferro

Docteur Folamour - générique

Docteur Folamour - générique

FilmsFantastiques.com, L'Encyclopédie du Cinéma Fantastique
La chronique de Gilles Penso