titre original | "The Flame of New Orleans" |
année de production | 1941 |
réalisation | René Clair |
scénario | Norman Krasna |
photographie | Rudolph Maté |
musique | Frank Skinner |
production | René Clair et Joe Pasternak |
interprétation | Marlene Dietrich, Bruce Cabot, Roland Young, Mischa Auer, Andy Devine, Frank Jenks, Eddie Quillan, Laura Hope Crews, Franklin Pangborn, Theresa Harris, Clarence Muse, Melville Cooper, Anne Revere |
Critique extraite du Guide des films de Jean Tulard
Une ravissante comédie, pleine de poésie (la dernière image du film). Redécouverte récemment, à la faveur d'une reprise, elle a connu un succès qu'elle n'avait pas rencontré à sa sortie.
Début d'une période américaine
"La Belle Ensorceleuse" est la première réalisation à Hollywood de René Clair, qui s'exila aux États-Unis durant la Seconde Guerre mondiale, comme ses compatriotes Jean Renoir et Julien Duvivier. Suivront les trois longs métrages "Ma femme est une sorcière" (1942), "C'est arrivé demain" (1944) et "Dix petits Indiens" (1945), et le film collectif de 1943 "Et la vie recommence" ("Forever and a Day"). Le metteur en scène quittera le sol américain en 1946 pour revenir en France, dont il était parti en 1940.
Joe Pasternak et Marlene Dietrich
"La Belle Ensorceleuse" est la troisième et dernière collaboration du producteur avec l'actrice, après "Femme ou démon" de George Marshall (1939) et "La Maison des 7 péchés" de Tay Garnett (1940).