« To you they are wax, but to me, their creator, they live and breathe. »
titre original | "House of Wax" |
année de production | 1953 |
réalisation | André De Toth |
scénario | Crane Wilbur, d'après une histoire originale de Charles Belden ("The Wax Works") |
photographie | Bert Glennon et J. Peverell Marley |
musique | David Buttolph |
maquillage | Gordon Bau |
production | Bryan Foy |
interprétation | Vincent Price, Frank Lovejoy, Phyllis Kirk, Carolyn Jones, Paul Picerni, Charles Bronson (sous le nom Charles Buchinsky) |
version précédente | "Masques de cire" ("Mystery of the Wax Museum") de Michael Curtiz, 1933, États-Unis |
Critique extraite du Guide des films de Jean Tulard
Remake de "Masques de cire" de Curtiz et remake réussi. Quelques temps forts : le sculpteur pourchassant dans les rues pleines de brouillard, monstrueuse silhouette noire dans sa cape, la jeune fille qu'il entend mouler dans la cire, ou encore le masque se brisant et révélant la face monstrueuse du sculpteur. Vincent Price fut sacré star de l'épouvante grâce à ce film. Le relief contribua au succès de l'œuvre.
Extrait de la chronique no 13 de Bertrand Tavernier du 23 mai 2007
"L'Homme au masque de cire" fut le premier film en 3D (et l’un des meilleurs) avec "Bwana Le Diable" (1952) de Arch Oboler. De Toth utilise le relief de manière astucieuse, jouant avec le brouillard, la couleur, des rentrées de champ inattendues (Alain Resnais se souvenait du surgissement de Charles Bronson qui rentre par le bas de l’image). Le relief donne un côté presque mystique au film qui vient d’être refait de manière calamiteuse.
La chronique de Gilles Penso