« Republic. I like the sound of the word. »
titre original | "The Alamo" |
année de production | 1960 |
réalisation | John Wayne |
scénario | James Edward Grant |
photographie | William H. Clothier |
musique | Dimitri Tiomkin |
production | John Wayne |
interprétation | John Wayne, Richard Widmark, Patrick Wayne, Aissa Wayne, Richard Boone |
récompense | Oscar du meilleur mixage de son |
remake | "Alamo" de John Lee Hancock, 2004 |
Critique extraite du Dictionnaire des films de Georges Sadoul
Ce fut au cri « Vengeons Alamo » qu'après 1845, les États-Unis doublèrent leur territoire en conquérant le Texas, le Nouveau-Mexique, la Californie, etc. Ce combat a joué le même rôle que, dans l'histoire colonialiste française, le Sidi-Brahim ou la mort héroïque du sergent Blandan. Alamo avait inspiré de nombreux films américains (de Griffith et Ince notamment). Cette superproduction très chauvine de l'acteur-producteur John Wayne obtint un gros succès commercial, grâce à ses effets sensationnels. Sa meilleure part : le montage nerveux et efficace de Stuart Wilmore.
Critique extraite du Guide des films de Jean Tulard
Davy Crockett se rend partout où la démocratie est menacée. Il laissera la vie dans cet ultime combat. John Wayne se bat pour ses idées et n'hésite pas à mourir... devant les caméras. Cela dit, notre acteur-réalisateur se livre à une apologie des femmes mexicaines (Wayne en épousa lui-même un certain nombre) et la caméra s'attarde longuement sur les blessés mexicains, leurs souffrances et la tendresse desdites femmes mexicaines. En fin de compte, un film agréable. Les scènes de bataille sont grandioses.
Critique extraite de 50 ans de cinéma américain de Bertrand Tavernier et Jean-Pierre Coursodon
John Wayne débute dans la mise en scène avec un western historique sur la bataille du Fort Alamo.
