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"Un jour sans fin"

Un jour sans fin - affiche

titre original "Groundhog Day"
année de production 1993
réalisation Harold Ramis
scénario Danny Rubin et Harold Ramis
photographie John Bailey
musique George Fenton
production Trevor Albert et Harold Ramis
interprétation Bill Murray, Andie MacDowell

Le titre original du film

Groundhog day signifie "jour de la marmotte" en français. Il s'agit d'un évènement célébré en Amérique du Nord (États-Unis et Canada) le jour de la Chandeleur, soit le 2 février. Preuve de l'impact culturel de "Un jour sans fin", dont l'intrigue se déroule ce jour-là, son entrée dans les dictionnaires correspond aujourd'hui à deux définitions : les festivités en elles-mêmes et « une situation dans laquelle les événements sont ou semblent se répéter continuellement » (voir par exemple le Collins English Dictionary).

Critique extraite du Guide des films de Jean Tulard

Le film fonctionne avec une seule idée, soit, mais quelle idée ! Comment se fait-il qu'aucun scénariste n'y ait jamais songé avant ? Ingénieux, drôlissime, sans autre prétention que de faire passer un message humaniste simple : rester à l'écoute des autres, trouver les vraies valeurs de la vie... La mise en scène est très sage et le romantisme final bien suranné, mais ils ne gâchent en rien le plaisir immédiat que l'on ressent à la vision de ce film.

Citation dans la littérature française

« Il repensa avec ironie à ce film avec Bill Murray qu'il avait utilisé plusieurs années auparavant dans une séance de thérapie : l'histoire de ce présentateur météo dépressif, coincé dans une boucle temporelle qui le condamnait à revivre le même jour à l'infini. Il essayait de s'en rappeler les détails lorsque son BlackBerry vibra dans sa poche. » Extrait du roman "Je reviens te chercher" de Guillaume Musso, 2008

Phil Connors (Bill Murray) dans "Un jour sans fin" © Flore Maquin
Affiche de "Un jour sans fin" éditée à l'occasion du 50e Festival La Rochelle Cinéma (2022)

Un jour sans fin - générique

FilmsFantastiques.com, L'Encyclopédie du Cinéma Fantastique
La chronique de Gilles Penso