« Do not alert him to my presence. I shall deal with him myself. »
| titre original | "Coming to America" |
| année de production | 1988 |
| réalisation | John Landis |
| scénario | David Sheffield et Barry W. Blaustein |
| photographie | Woody Omens |
| musique | Nile Rodgers |
| interprétation | Eddie Murphy, James Earl Jones, Cuba Gooding Jr., Eriq La Salle, Samuel L. Jackson, Don Ameche |
| suite | "Un prince à New York 2" ("Coming 2 America"), Craig Brewer, 2021 |
| rien à voir avec | "Le prince de New York", Sidney Lumet, 1981 |
Critique extraite du Guide des films de Jean Tulard
Le tandem Landis-Murphy est moins inspiré ici que dans "Un fauteuil pour deux". À moins que l'effet de surprise ne joue plus.
Multiplicity
Pour la première fois de sa carrière, Eddie Murphy incarne plusieurs personnages différents en plus du personnage principal : le chanteur soul Randy Watson, Saul (le client juif blanc du barbershop) et enfin Clarence, propriétaire du barbershop. Cela deviendra ensuite une « marque de fabrique » qu'il réitérera dans "Un vampire à Brooklyn" (trois personnages), "Le Professeur foldingue" (sept personnages), "La Famille foldingue" (huit personnages) et "Norbit" (trois personnages).
On notera que dans "Un prince à New York", un autre acteur interprète à lui seul quatre personnages : Arsenio Hall, qui joue notamment le révérend Brown.
