| titre original | "Tarzan the Ape Man" |
| année de production | 1932 |
| réalisation | W.S. Van Dyke |
| scénario | Cyril Hume, d'après les personnages créés par Edgar Rice Burroughs |
| photographie | Clyde De Vinna et Harold Rosson |
| interprétation | Johnny Weissmuller, Neil Hamilton, C. Aubrey Smith, Maureen O'Sullivan, Doris Lloyd, Forrester Harvey, Ivory Williams |
| versions suivantes | • "Tarzan, l'homme singe" de Joseph Newman, 1959 |
| • "Tarzan, l'homme singe" de John Derek, 1981 | |
| suites | • "Tarzan et sa compagne" de Cedric Gibbons, 1934 |
| • "Tarzan s'évade" de Richard Thorpe, 1936 | |
| • "Tarzan trouve un fils" de Richard Thorpe, 1939 | |
| • "Le Trésor de Tarzan" de Richard Thorpe, 1941 | |
| • "Les Aventures de Tarzan à New York" de Richard Thorpe, 1942 |
Critique extraite du Guide des films de Jean Tulard
Le plus beau des Tarzan et celui qui en fixa les règles (notamment le curieux cri de l'homme-singe et la présence à son côté de Cheetah). Johnny Weissmuller, champion olympique, y fait ses débuts et ne sera jamais égalé. Maureen O'Sullivan est une ravissante Jane. Van Dyke, qui avait déjà tourné en Afrique "Trader Horn", connaît son sujet : la jungle, qu'il peuple de bêtes féroces et de sauvages redoutables.
Critique extraite de 50 ans de cinéma américain de Bertrand Tavernier et Jean-Pierre Coursodon
Les plans documentaires inutilisés de "Trader Horn" resservirent dans "Tarzan, l'homme singe", pour le tournage duquel Van Dyke passa brillamment, après tant d'œuvres en extérieurs, à la jungle de studio la plus hollywoodienne et la plus spectaculaire. Nous louions [dans la précédente édition, NDLR] l'humour et la finesse délicieuse des scènes d'amour et la photographie splendide, deux qualités que l'on retrouve dans nombre de Van Dyke de l'époque. Cette adaptation féerique de Edgar Rice Burroughs possède une poésie, un sens de l'imaginaire, un bestiaire merveilleux qui feront cruellement défaut aux différentes suites.
La chronique de Gilles Penso