« And kill any officer in sight. – Ours or theirs? – Well, let's start out with theirs, huh? »
titre original | "The Dirty Dozen" |
année de production | 1967 |
réalisation | Robert Aldrich |
scénario | Nunnally Johnson et Lukas Heller, d'après le roman éponyme de E.M. Nathanson (1965) |
photographie | Edward Scaife |
musique | Frank De Vol |
interprétation | Lee Marvin, Ernest Borgnine, Charles Bronson, Jim Brown, John Cassavetes, Richard Jaeckel, George Kennedy, Ralph Meeker, Robert Ryan, Telly Savalas, Donald Sutherland |
récompense | Oscar du meilleur montage de son |
Le titre du film
Les douze salopards du titre sont les douze soldats condamnés à la peine de mort, aux travaux forcés ou à une longue peine de réclusion, sélectionnés par le personnage interprété par Lee Marvin pour participer à une opération d'infiltration chez l'ennemi nazi en échange d'une amnistie en cas de survie.
Critique extraite du Guide des films de Jean Tulard
Le thème du commando sacrifié est porté ici à son point de perfection. Mais il faut reconnaître qu'Aldrich est aidé par une équipe d'acteurs extraordinaires. Le film est si bien fait qu'on ne s'aperçoit pas de sa longueur.
Critique extraite de 50 ans de cinéma américain de Bertrand Tavernier et Jean-Pierre Coursodon
Douze G.I. emprisonnés pour meurtre, viol, vol et autres crimes s'entraînent pour une mission suicide. Un mélange d'antimilitarisme cynique (dans la lignée de "Attaque") et d'extrême violence ménagée avec efficacité par Robert Aldrich.