« You can never, never ask me to stop drinking. Do you understand? »
titre original | "Leaving Las Vegas" |
année de production | 1995 |
réalisation | Mike Figgis |
scénario | Mike Figgis, d'après le roman de John O'Brien |
photographie | Declan Quinn |
musique | Mike Figgis |
production | Lila Cazès et Annie Stewart |
interprétation | Nicolas Cage, Elisabeth Shue, Julian Sands, Valeria Golino, Ed Lauter |
récompenses | • Oscar du meilleur acteur pour Nicolas Cage |
• Coquille d'argent du meilleur acteur pour Nicolas Cage au festival de Saint-Sébastien 1995 | |
• Coquille d'argent du meilleur réalisateur au festival de Saint-Sébastien 1995 |
Citations dans la littérature française
« Ils s'aiment. Dans les librairies des rues de Berkeley où plane encore un parfum de bohème. Dans un cinéma de Reid Street où ils ne voient pas grand-chose du film Leaving Las Vegas, tellement ils se perdent en baisers et en caresses. » Extrait du roman "Que serais-je sans toi ?" de Guillaume Musso, 2009
« Poussant plus loin ses investigations, il consulta les titres de films que Madeline avait téléchargés. Nouvelle surprise : pas de comédies romantiques, d'épisodes de Sex and the City ou de Desperate Housewives, mais des longs métrages moins lisses et plus controversés : Le Dernier Tango à Paris, Crash, La Pianiste, Macadam Cowboy et Leaving Las Vegas. Jonathan bloqua sur le dernier titre : cette histoire d'amour impossible entre un alcoolique suicidaire et une prostituée paumée était son film préféré. Lorsqu'il l'avait découvert, il était au sommet de sa réussite professionnelle et familiale. Pourtant, la longue dérive éthylique de Nicolas Cage, noyant dans l'alcool l'échec de sa vie, lui avait paru presque familière. C'était le genre de film qui ravivait vos blessures, réveillait vos vieux démons et vos instincts d'autodestruction. Le genre d'histoire qui vous renvoyait à vos peurs les plus secrètes, à votre solitude, et vous rappelait que personne n'est à l'abri d'une descente aux enfers. Selon votre état d'esprit du moment, l'œuvre pouvait vous donner la nausée ou vous faire voir plus clair en vous. En tout cas, elle touchait juste. » Extrait du roman "L'Appel de l'ange" de Guillaume Musso, 2011