Juste pour Sean Connery
| titre original | "Just Cause" |
| année de production | 1995 |
| réalisation | Arne Glimcher |
| scénario | Jeb Stuart et Peter Stone, d'après le roman éponyme de John Katzenbach |
| musique | James Newton Howard |
| interprétation | Sean Connery, Laurence Fishburne, Kate Capshaw, Blair Underwood, Ed Harris, Scarlett Johansson, Ned Beatty, Chris Sarandon |
La critique de Sébastien Miguel pour Plans Américains
Certainement le rôle le plus humain de Sean Connery (avec "Le Nom de la rose" et... "La Carte du cœur").
Le début - nonobstant un pré-générique inutile et racoleur - est vraiment bien.
Un homme intègre reprend du service pour s'opposer à la peine de mort. En producteur exécutif, la star prend le pari du contre-emploi et du film à thèse.
Mais les invraisemblances et un final ridicule transforment "Juste cause" en pur produit commercial totalement conventionnel.
Vraiment dommage.
De la galerie d'art au septième art
Le réalisateur de "Juste cause", l'américain Arne Glimcher, est surtout connu comme étant le fondateur de la Pace Gallery. Marchand d'art depuis les années 60, il commence à s'intéresser au cinéma dans les années 80, au cours desquelles il produit des films comme "L'Affaire Chelsea Deardon" de Ivan Reitman ou "Gorilles dans la brume" de Michael Apted. Il passe à la mise en scène en 1992 avec "Les Mambo Kings".
