| titre original | "Pillow Talk" |
| année de production | 1959 |
| réalisation | Michael Gordon |
| scénario | Stanley Shapiro et Maurice Richlin, d'après une histoire de Russell Rouse et Clarence Greene |
| photographie | Arthur E. Arling |
| musique | Frank De Vol |
| production | Ross Hunter et Martin Melcher |
| interprétation | Rock Hudson, Doris Day, Tony Randall, Thelma Ritter |
| récompense | Oscar du meilleur scénario original |
Critique extraite du Guide des films de Jean Tulard
Les derniers feux de la comédie américaine. Gros succès financier. Se laisse voir sans ennui.
Critique extraite de 50 ans de cinéma américain de Bertrand Tavernier et Jean-Pierre Coursodon
Il [Michael Gordon] fut porté sur une des premières listes noires et dut attendre près de dix ans pour se voir confier par Ross Hunter la réalisation de "Confidences sur l'oreiller" pour Universal, film qui remporta un grand succès commercial. Il obtint d'ailleurs ce contrat en devenant l'un des témoins "amicaux" de la Commission des Activités antiaméricaines et cet acte de soumission semble avoir brisé en lui toute velléité d'ambition.
Doris Day, Rock Hudson et Tony Randall
"Confidences sur l'oreiller" est le premier d'une série de trois films réunissant les trois acteurs américains, avec "Un pyjama pour deux" de Delbert Mann (1961) et "Ne m'envoyez pas de fleurs" de Norman Jewison (1964).
Le générique de "Confidences sur l'oreiller" conçu par Wayne Fitzgerald
